Tout ce qu'il faut savoir pour bien choisir votre jean

Nos précédents guides sur le jean dataient respectivement de 2007 et de 2011... Des années plus tard, nous avons donc jugé utile de synthétiser l'essentiel sur ce vêtement si important. En treize ans, l'offre et la qualité des jeans ont bien évolué, vos attentes aussi. C'est donc un tout nouveau guide sur le jean que nous vous proposons ici.

Le jean pour homme, son histoire, sa vie, son oeuvre

Les hommes ont toujours eu une affinité particulière avec ce pantalon, en témoigne un langage publicitaire à peine vétuste, l'érigeant en emblème de virilité.

Plus d'un siècle après sa création, le jean s'adapte à son temps et reste le basique intemporel que nous aimons tant. Pour revenir rapidement sur son histoire, il faut remonter au début du XIXème siècle. Le mot jean est une déformation de "Genova", soit Gênes, la fameuse ville italienne.

C'est là-bas que des bâches de transport en toile ultra solide voient le jour, les tous premiers jeans furent taillés à partir d'elles. Nîmes, alors haut lieu du textile, retravaille cette toile pour lui apporter plus de souplesse et l'adapte aux exigences de la confection. Plusieurs hypothèses sur l'origine du jean existent, mais celle-ci est la plus communément retenue.

Le tissu "de Nîmes" devient le "denim". En 1873, Levi Strauss et Jacob Davis l'utilisent pour proposer aux mineurs de fond des pantalons à l’épreuve des déchirures, en y ajoutant des rivets.

Les différents types de toiles denim

Le schéma ci-dessus montre comment obtenir la texture si reconnaissable du jean : les fils de trame sont entrelacés avec les fils de chaîne, blancs.

1. DIFFÉRENCE ENTRE LE DENIM CLASSIQUE ET LE SELVEDGE

Comme vu ci-dessus, sur un selvedge le fil de trame n'est pas coupé aux extrémités, offrant des bords parfaitement finis et solides. Ce tissage est obtenu grâce aux métiers à jet de navette permettant de lancer un même fil d'un bord à l'autre.

Sur un métier ancien, la navette part de gauche à droite, puis revient en arrière, ce qui est moins productif. Le selvedge est plus long à fabriquer, et donc moins rentable pour ses fabricants.

Passionnés par cette toile, nous avions fait il y a quelques années un tour au Japon pour voir la fabrication du selvedge de nos yeux :

Le selvedge vous semble trop cher pour ce qu'il est réellement ? N'hésitez pas à consulter notre focus sur le prix du selvedge pour en savoir plus.

2. LE SENS DE TISSAGE DES FILS

RIGHT HAND TWILL

Les diagonales créées par le tissage partent habituellement de la gauche puis remontent vers la droite, on les dit "droitières". Ce sont les toiles les plus communes.

LEFT HAND TWILL

Si, en revanche, le sens de la diagonale est inversé, celle-ci remonte vers la gauche et vous avez alors une toile gauchère, nécessitant deux fils de chaîne au lieu d'un seul.

Au-delà d'une particularité esthétique, ces deux toiles se différencient par leur texture : la droitière est réputée plus lisse, alors que l'on prête à la gauchère un toucher plus doux.

BROKEN TWILL

Enfin, Wrangler a inventé par la suite le broken twill. Pas de diagonales, mais une orientation du tissage aléatoire d'où son nom de "twill cassé".

Il combine les avantages des tissus droitiers et gauchers pour éviter les torsions...

Autrement dit, il est censé éviter au jean de se déformer sous la tension qu'il subit chaque jour.

3. LE TISSAGE, UN GAGE DE QUALITÉ ?

Le denim classique droitier est ultra dominant dans l'offre de jean car il est peu cher et rapide à produire : les métiers à tisser à jets d'air le fabriquent presque dix fois plus vite que les métiers traditionnels.

Le denim selvedge reprend peu à peu sa place dans le prêt à porter moyen et haut de gamme, en parallèle d'un regain d'intérêt pour les vêtements solides et durables.

Très concrètement, en plus de ses bords finis vus plus haut, le self finished edge est une méthode de fabrication du denim qui suppose un tissage plus serré - plus de matière au m², un tissu plus lourd, plus épais, donc plus résistant. Pour simplifier, c'est un denim fabriqué avec plus de soin.

La couleur du liseré n'a aucune importance, il peut y avoir des liserés bleus ou verts par exemple. Les anciens fabricants de toile de jean utilisaient des couleurs de liseré différentes selon la destination de la toile. Ainsi, le selvedge était rouge quand la toile devait être livrée pour Levi's, orange pour Lee, etc ...

Le délavage naturel de la toile selvedge

Un beau travail de teinte donne une superbe pièce prête à vous suivre dans toutes vos aventures. L'intérêt d'acheter un jean brut est de voir la toile se délaver avec le temps. Pourquoi ? Tout simplement parce que cela rend votre jean absolument unique puisque les marques dépendent de votre morphologie, de votre démarche, de vos activités...

Cette question du délavage est fondamentale pour comprendre l'attrait des toiles selvedge : c'est ce qui fait le charme du selvedge.

1. COMMENT ÉVITER DE SE TÂCHER AVEC UN JEAN NEUF ?

Acheter un jean brut en espérant qu'il ne se délave pas vous mènera forcément à d'immenses déceptions. Non, si votre toile selvedge "perd" son bleu nuit, ce n'est pas signe de mauvaise qualité, bien au contraire !

Certains puristes considèrent que l'indigo qui se délave un peu partout fait partie du plaisir de porter un jean neuf. Néanmoins, si vous n'êtes pas fan de l'idée, n'hésitez pas à le faire tremper 20 minutes dans l'eau tiède, une ou deux fois, pour atténuer ce phénomène... mais sachez que le délavage sera moins contrasté.

Pour les cuirs velours, vous auriez effectivement raison de ne pas trop les mettre au contact d'un jean neuf qui laissera des traces pas toujours faciles à enlever. Pour les chaussures en cuirs lisses, un petit coup d'éponge humide de temps en temps, un lait nettoyant 3 ou du Jason Markk seront d'une aide précieuse.

2. LES DIFFÉRENTS POIDS DE TOILE DE JEAN

On peut établir une dernière classification du jean grâce à... son poids ! L'unité de mesure est l'oz, et il pèse environ 28 grammes. L'indication de poids est calculée pour 1m² de toile. Pour vous donner une idée :

• 9 à 11 Oz : toile légère, jeans d’été ;
• 11 à 13 Oz : toile courante, jeans quatre saisons ;
• 13 à 16 Oz : toile épaisse : pour la mi-saison, l’hiver, et ceux qui cassent vite leurs jeans ;
• 16 Oz et + : toile très lourde (peu courante) ;
• 22 Oz : toile pour les plus courageux d'entre vous (son épaisseur et son aspect très cartonné rendent la marche inconfortable les premiers jours).
• 32 Oz : la toile est si épaisse que le jean tient debout tout seul ! Benoît en a parlé lors de sa visite chez Naked and Famous. Pour les puristes du jean, ces toiles épaisses se délavent et patinent encore mieux que les autres toiles. L'inconvénient majeur de ces toiles est leur rugosité, ce ne sont pas les plus confortables que l'on puisse trouver.

Comment évaluer la qualité de la matière du jean ?

Sans équivoque et depuis toujours, nous vous recommandons le selvedge pour sa durabilité et sa capacité à s'embellir avec le temps. Le denim classique est-il pour autant à oublier ? Evidemment, non, mais il y a toujours quelques points à vérifier pour bien acheter.

1. D'ABORD, UNE TOILE BIEN FABRIQUÉE...

Un bon jean classique, par sa fabrication industrielle, devrait avoir un aspect régulier et lisse.

Si elle n'est pas assez serrée, la matière paraît plus hétéroclite à la lumière... On ne donne alors pas cher de l'entrejambe qui, parfois, se déchire après quelques mois de port seulement. Cet élément de tissage homogène et serré de la matière est important, il suffit de jeter un oeil sur l'envers de la toile à l'intérieur du jean pour qu'il livre certains de ses secrets...

Vigilance également quant au fil utilisé pour fabriquer la toile. Il y a des signes qui ne trompent pas, comme les effilochages, les fils trop irréguliers/grossiers... Sur une toile dite "slack" (non selvedge), vous ne devriez pas voir la moindre strie verticale.

Si un denim industriel de qualité se doit d'être régulier, un selvedge devrait presque obligatoirement avoir des irrégularités visuelles. Elles témoignent d'un travail réalisé à partir de métiers traditionnels, plus lents certes, mais offrant une meilleure qualité. L'aspect brut, le touché «cartonné» et l'apparente robustesse de la toile selvedge résultent d'un savoir-faire particulier.

Choisir une toile selvedge, c'est choisir une pièce qui a demandé du temps et de la patience à son fabricant. C'est un postulat : vous appréciez les belles choses faites avec amour.

2. PETIT ENCART SUR LES TOILES SLUBBY...

Attention, certaines marques de jean selvedge pointues font des toiles dites "slubby" ou "neppy", à l'aspect très granuleux, parfois généreusement striées, qu'on pourrait prendre pour de la toile bas de gamme.

Il n'en est rien : certains «denimophiles» adorent l'aspect "neigeux" du délavage d'une toile aussi irrégulière et duveteuse.

3. RECONNAÎTRE UNE BONNE TEINTURE DE JEAN

Le dernier point pour jauger la qualité d'une toile de jean est sa couleur. La belle couleur passe par :

• un jeu entre la matière et la lumière, avec des reflets presque métalliques,
• des nuances de couleur,
• et une profonde intensité.

Regardez éventuellement ces jeans fades et ternes que l'on trouve dans les enseignes des grandes surfaces : le contraste avec un beau produit apparaîtra tout de suite.

4. QUE PENSER DES DÉLAVAGES ARTIFICIELS ?

Évidemment, il n'est pas interdit de se laisser tenter par un jean dont la teinte a déjà été travaillée, même s'ils sont moins plébiscités ces temps-ci.

• Faites attention à ce que la toile n'ait pas été trop endommagée lors de l'opération, et qu'elle n'apparaisse pas jaunie ou pire, verte ! Évitez aussi les délavages trop nets et réguliers, à l'aspect bien trop artificiels.
• Le délavage, ou blanchiment, peut avoir été réalisé à l'aide de produits chimiques, au brossage ou encore au sablage, techniques décriées notamment en raison de la quantité d'eau requise et de leur nocivité.

On dénombre plusieurs cas de décès aux suites d'infections pulmonaires directement liées aux activités de sablage. Heureusement, certaines marques ont su innover et de nouvelles technologies se mettent en place.

Dans le doute, n'hésitez pas à vérifier scrupuleusement le processus de fabrication de ce jean artificiellement délavé qui vous fait de l'œil. Vous n'êtes peut-être pas à l'abri d'une (très) mauvaise surprise.

Des créateurs comme Marithé+François Girbaud ont révolutionné l'industrie du jean. Nous leur devons notamment les premiers délavages qu'ils obtenaient en frottant des pierres ponces sur les jeans : le stonewashing.

Avec l'essor de cette technique, mais surtout à cause de la toxicité des anciens procédés industriels en place, ils mettent au point le Wattwash mêlant un travail au laser et un traitement à l'ozone. Résulat : 97,5% d'eau économisée par rapport à la méthode classique.

En définitive, un beau jean délavé coûte cher ! Si l'on veut réaliser un beau délavage, il faut beaucoup de minutie, de savoir-faire et de dextérité.

LE montage et les détails d'un bon jean pour homme

En plus d'une toile de qualité, l'assemblage du jean se doit d'être irréprochable si on veut le conserver longtemps. Ce n'est pas parce que le jean est confectionné en selvedge que la réalisation est forcément bonne, surtout s'il s'agît de produits d'entrée de gamme.

Abordons ces petits détails qui justifient un prix élevé.

1. COUTURES ET ASSEMBLAGE D'UN BON JEAN

Commencez par observer les coutures de la pièce. En matière de confection, ce sont souvent les mêmes critères qui reviennent : des points bien serrés, pas trop fins et alignés révèlent un travail régulier et soigné.

À l'inverse, on voit sur des jeans bas de gamme des points de tailles différentes, cousus de travers et grossiers.

Votre jean en main, vous pouvez tirer légèrement de part et d'autre d'une couture pour en apprécier le serrage. Lorsque les deux empiècements s'écartent et que la lumière passe à travers les points de couture, c'est mauvais signe ...

N'ayez aucune tolérance pour les fils qui s'effilochent : si certains puristes préfèrent le fil 100% coton, il est moins résistant qu'un fil en polycoton (un mélange de polyester et de coton) utilisé par la majorité des marques. Pour un jean qui dure toute la vie, on préfère naturellement un fil bien résistant.

Pour une enquête approfondie, nous vous conseillons aussi de jeter un œil à l'intérieur d'un jean</strong> :

• Regardez surtout à l'intérieur des cuisses, qui sont plus exposées aux frottements et à l'usure.
• N'oubliez pas de jeter un œil à la jointure arrière au niveau du fessier et de la braguette.
• Enfin, assurez vous que les coutures au niveau des poches et des ourlets soient qualitatives.

2. LES DÉTAILS QUI FONT LA DIFFÉRENCE SUR UN JEAN

LE POINT D'ARRÊT

Grâce à lui, les frottements, tensions et autres portefeuilles trop chargés n'auront pas raison des coins de poche, souvent fragiles. Ce type de renfort peut être exécuté par un bon retoucheur.

LES DOUBLURES DE POCHES

Si nos poches doivent accueillir nos clés, nos portables et tout un tas d'autres choses, autant que la toile de la poche soit épaisse et durable. Faites attention à ce que la toile ne soit pas trop fine.

L'OURLET EN POINT DE CHAÎNETTE

Voici un cas particulier en matière de finitions. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, le point de chaînette est moins résistant qu'un point classique, mais il est un cran au dessus en terme d'élégance pure.

Autre atout de l'ourlet en point de chaînette : c'est ainsi qu'étaient confectionnés les jeans vintage dans le temps. Un hommage à l'histoire, donc.

LES RIVETS EN CUIVRE

Loin d'être un détail, les rivets cuivrés apportent une forme de noblesse au vêtement. Pour aller encore plus loin dans le détail, certaines marques personnalisent leurs rivets afin d'être encore plus reconnaissables.

Dans ce cas précis, cela peut être intéressant lorsqu'il y a un travail supplémentaire et donc un soin particulier apporté aux détails.

LA POCHE À MONNAIE

Le détail qui fait toute la différence : tout bon jean dispose d'une poche à monnaie. Elle est plus esthétique que pratique certes, mais c'est un véritable gage de qualité.

Quelle coupe de jean choisir ?

Même si l'on peut trouver quelques spécificités d'une marque à l'autre, il est important de maîtriser les différentes coupes de jean. Chaque coupe est adaptée à une silhouette et à un style bien spécifique. Pour devenir un expert à ce sujet, c'est ici que ça se passe.

1. LA COUPE DE JEAN DROITE

Une coupe droite, c'est lorsque la coupe ne se resserre que très peu (ou pas du tout) au niveau du genou. Ce n'est pas forcément la coupe qui mettra le plus en valeur votre silhouette, mais elle permet de donner des volumes intéressants à votre tenue. De plus, c'est une coupe passe-partout, qui s'adapte naturellement à vous. Attention à ne pas trop nager dedans, quand même !

2. LA COUPE DE JEAN CAROTTE (OU FUSELÉE)

À l'inverse de la coupe droite, la coupe carotte se resserre à partir du genou. Plus moderne, un jean coupe carotte s'associe très facilement avec d'autres pièces. Elle est aussi plus tolérante avec les cuisses développées, et garantit un confort au porter.

3. LA COUPE DE JEAN SEMI-SLIM (OU "COUPE DROITE AJUSTÉE")

C'est LA coupe dont nous vous avons le plus parlé. Les cuisses sont ajustées, mais le bas de la jambe garde une ouverte décente (au-dessus de 17 centimètres d’ouverture).

Cela lui permet de :

• affiner votre silhouette tout en évitant l'effet "cuisses de grenouille" ;
• mettre juste ce qu'il faut les fesses en valeur ;
• convenir à un maximum de morphologie.

4. LA COUPE DE JEAN SLIM

Parfois mal connotée, la coupe slim est la coupe contemporaine la plus exclusive. Elle se porte facilement lorsque l'on est gracile et mince, elle s'insère particulièrement bien dans des looks d'inspiration rock.

Il en est de même pour sa petite sœur la coupe skinny, plus serrée encore. Attention à l'effet cuisse de grenouille qui n'est jamais bien loin.

L'appellation "semi-slim" n'est pas systématiquement utilisée, on la désigne parfois comme coupe straight voire "slim", dépendant de la marque. Chaque enseigne a sa propre définition, sinon ça ne serait pas drôle !

Dans tous les cas, n'hésitez pas à interroger la marque à ce sujet pour qu'elle vous oriente.

Comment bien choisir sa taille de jean ?

Le meilleur jean du monde acheté trop grand sera, au mieux, quelconque.

Au moment de l'achat, il doit donc être serré à la taille et au niveau des cuisses. Si vous fermez trop facilement le dernier bouton du jean à l'achat, c'est qu'il est encore une taille trop grand.

Si vous avez l'impression que la "ceinture" du jean est lâche à l'arrière : pas d'inquiétude. Selon votre cambrure, le galbe des fesses a besoin de se faire. Cela se fait avec le temps.

1. LE TOMBÉ DU JEAN SUR VOS CHAUSSURES

Il est rare de tomber sur un jean qui convient parfaitement à votre longueur de jambe. Certaines boutiques proposent elles-mêmes de faire la retouche, assurez vous que la mesure soit correctement prise.

Étant donné que le jean n'est pas aussi fluide ni aussi habillé qu'un pantalon en flanelle, nous vons conseillons de laisser une bonne cassure, voire deux, sur la chaussure. Il n'y a rien de pire qu'un jean trop court remontant avec insolence au dessus des chevilles lorsque vous vous asseyez.

Un ourlet feu de plancher (ou 7/8ème) est envisageable, mais un peu dangereux. Roulottez plutôt le pantalon au-dessus de la cheville en été si besoin.

Le saviez vous ?

Les couturiers recommandent souvent de laver une première fois les vêtements en coton et en lin. Ces matières tendent à rétrécir au lavage, même si les toiles fines ou de qualité médiocre risquent plus que les autres. Même si c'est super tentant de l'enfiler dès l'achat, votre bon jean préfère d'abord passer à la machine avant d'habiller vos jambes. Il vous le rendra au centuple.

2. L'OUVERTURE DE JAMBE (LEG OPENING)

On termine avec l'ouverture de jambe, plus ou moins grande selon votre volume de mollet et votre morphologie. L'idée est de choisir une ouverture de jambe qui accompagne votre mollet sans le mouler, ou à l'inverse, sans bailler.

En général, l'ouverture de jambe standard d'un jean se situe entre 17 et 19 cm pour les morphologies classiques (ce qui correspond à la plupart des jeans semi-slims du marché actuel).

Ce qu'il faut retenir

N'essayez pas de retrouver tous les détails de puristes : ils ont l'importance que vous leur donnez. Cependant, soyez intransigeants sur la qualité de la confection, de la toile et surtout, choisissez le jeans à la bonne taille.

Et concrètement, où acheter votre jean ?

Si vous ne savez pas par où commencer votre quête, sachez qu'on vous a préparé toute une sélection de marques par gamme de prix ici.

Sachez aussi que nous faisons nos propres jeans, avec les denims et les détails qu'on aimerait trouver ailleurs.

Maintenant, vous avez tout ce qu'il faut pour choisir celui qui vous correspondra le mieux. Faites-vous confiance, écoutez votre cœur et en cas de doute, n'hésitez pas à nous poser vos questions dans les commentaires en bas de cet article !