L’ancien revient pour conquérir le style américain

L’ancien revient pour conquérir le style américain
C'est le retour de l'ancien. Luca s'associe à BonneGueule pour une collaboration exclusive. Au menu : un fatigue pants en laine, un henley en coton et yack, et la pièce maîtresse : une deck jacket inspirée de la marine américaine. Retrouvez la collection Lucallacio x BonneGueule ce jeudi 7 décembre, à 10h30.

YEE-HAW ! Notre collab' avec Luca est disponible ici.

10 ans, 10 ans tout pile que je suis arrivé chez BonneGueule. 

Étant nostalgique de nature (je regarde encore les rediff’ du Juste Prix), ça ne pouvait pas être le meilleur moment pour faire cette collab’. 

Cette aventure commune, ce n’est pas juste une histoire d’amour pour le vêtement. C’est aussi (de mon côté) ce qui m’a construit et qui m’a permis de devenir ce que je suis aujourd’hui.

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Séquence nostalgie : la signature de mon CDI chez BonneGueule. Le temps passe, hein ?

Je vais vous raconter un peu tout ça, mais promis je ne serai pas long. 

En 2013, j’étais encore en école de commerce et président d’une asso de mode, dans laquelle j’organisais un concours de jeunes créateurs. 

Major de ma promo et déjà lecteur de BonneGueule, j’ai invité Benoît et Geoffrey dans l’espoir qu’ils viennent présider le jury lors de mon événement. 

Benoît était pour moi le mec qui m’avait aidé à choisir ma première chemise blanche qui allait me faire entre en boîte, j’étais tout de même assez impressionné.

Spoiler alert : je n’ai pas réussi à entrer mais j’avais une belle chemise en popeline italienne. 

Ensuite, je leur ai fait une demande de stage car ils cherchaient quelqu’un au marketing. À l’époque on était 4…

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Geoffrey, Long, Benoit et moi. Une équipe de choc !

Autant vous dire que j’ai vraiment des souvenirs incroyables d’une bande de potes entre 23 et 26 ans qui adoraient parler de fringues, écrire des articles, faire des vidéos et passer plein de moments ensemble. 

Bref, BonneGueule c’est comme une première famille professionnelle, qui m’a mis le pied à l’étrier, et qui a largement contribué à faire ce que je fais aujourd’hui, c'est-à-dire parler de ma passion, avec le ton que j’aime.

Merci donc à Ben et Geoff pour ça ! 

Après cette séquence émotion (j’espère que tu as chialé), je vais vous expliquer le pourquoi de la collab’. 

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Au moment du lancement de notre ligne de vêtements, je chuchotais des idées à l'oreille de Benoit durant son sommeil pour qu'elles lui viennent en tête à son réveil. On peut dire que ça a fonctionné.

Cette collab’, les plus belles retrouvailles

Depuis mon départ en 2017, j’ai toujours gardé contact avec Ben. 

On a vécu beaucoup de choses tous les deux, on se parle énormément, que ce soit de façon récréative ou plus "Johnny Deep", comme dirait l’autre. 

On a des approches vraiment différentes du vêtement.

Ben me contredira si je dis des bêtises, mais son approche est très précise, limite “geek”, pour trouver LA bonne matière, le petit détail qui fera toute la différence sur un vêtement pour son porteur, alors que le reste du monde ne le voit pas. 
Il a une connaissance folle de la technique. 

Moi, c’est tout l’inverse. 

J’aime l’approximation dans le vêtement, c’est-à-dire de ne pas faire attention à tous les détails, ne pas faire attention à ce qu’un pantalon tombe pile poil et mes vêtements ont des tailles totalement différentes. 

J’aime ce manque de précision qui ajoute une touche de désinvolture dans le vêtement.  

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Je porte ici le manteau Glencoe. Crédit : @lucallaccio

Ma priorité est qu’un vêtement doit être confortable, se porte facilement et surtout doit être oublié par son porteur (moins un vêtement demande de réflexion, plus il sera logique à porter selon moi). 

On s’est donc dit, pourquoi pas allier mon côté confort, passe-partout et pratique à la technique de Ben et BonneGueule plus généralement pour notre collab’.

Et pour ça BonneGueule m’a laissé carte blanche sur le thème…

L’Amérique !

J’ai toujours adoré les États-Unis, sa pop culture et les vêtements qui s’en dégagent depuis que je suis tout petit. 

J’ai décidé de me faire plaisir donc, avec des vêtements ricains emblématiques, revisités. Entre praticité et technicité.

On espère très fort qu’ils vous plairont.

Le fatigue pants… en laine !

Le fatigue pants, ou “pantalon de fatigue”, est à la base un pantalon militaire (comme beaucoup de vêtements d’ailleurs) qui a connu un succès considérable ces dernières années. 

C’est simple, on le voit partout.

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Ici, je porte le henley, le fatigue pants et les bottines Canberra.

Originaire des États-Unis, il a été créé en 1952 pour l'armée américaine.

Alors à l'origine, le fatigue pants est un pantalon de travail destiné aux opérations de maintenance et de logistique. Pas le plus sexy, mais il se veut pratique !

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© Yoichi Okamato

Il est fabriqué dans un tissu de coton épais et résistant, qui offre une grande liberté de mouvement, et c’est ça qui nous intéresse. 

Sa particularité, c’est ces deux grandes poches qui permettaient aux soldats de ranger leurs outils et leur équipement.

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Un fatigue pants de l'armé américaine, fabriqué dans les années 1950.

Pendant la guerre du Vietnam, le fatigue pants devient un incontournable de l'uniforme des G.I's. Il est porté sur le front, mais également dans les bases arrière. Le pantalon est également adopté par les hippies. Ceux qui fumaient des trucs pas légaux, mais qui étaient heureux. 

Après la guerre du Vietnam, comme beaucoup de vêtements militaires, le fatigue est sorti des rangs afin d'atterrir sur les jambes des civils pour des raisons toutes simples : sa praticité. 

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Et comme on en trouve majoritairement en coton, je me suis dit que ce serait cool de le revisiter en laine toute douce pour vous tenir chaud, tout en étant pratique.

Vous allez voir que les détails ne manquent pas, mais ça c’est Ben qui va vous en parler. 

La matière : une très belle laine recyclée de Manteco (par Benoît)

Pour trouver cette laine, nous nous sommes tournés vers le fournisseur italien qui m’a fait aimer la laine recyclée : Manteco.

Ce tisserand italien qui recycle des vêtements depuis 80 ans

Il s’agit d’un fournisseur italien, basé dans la ville de Prato depuis sa création.

L’histoire de Manteco débute dans la deuxième moitié des années 1940 dans une Italie ravagée par la guerre. L’économie du pays étant très appauvrie, l’industrie textile est à la peine et il y a une pénurie en matières premières.

C’est alors qu’un italien du nom d’Enzo Anacleto Mantellassi a une idée : réhabiliter une usine de filature en piteux état et créer du fil à partir de couvertures et de vêtements militaires.

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Il achète ces pièces aux enchères puis les déchiquète pour en faire des amas de matière qu’il file pour créer des fils de laine recyclée. Puisqu’il n’y a pas assez de nouvelle matière à exploiter, autant utiliser l’existant !

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Enzo va même plus loin dans la démarche : il crée ces nouveaux fils sans aucune utilisation de teinture. Comment ? En ajoutant une étape de tri méticuleuse. Au tout début du processus, les vêtements sont triés à la main par composition, par micronnage et surtout, par couleur. Ainsi, ils peuvent être détruits puis filés par couleur, sans avoir besoin de teinture supplémentaire.

80 ans après la création de cette première filature, Manteco est toujours dirigé par la famille Mantellassi. Elle est aussi toujours basée dans la ville de Prato et est devenue un fournisseur renommé auprès de nombreuses marques haut-de-gamme. La méthode d’Enzo a été conservée et modernisée pour créer des fils de laine recyclée, sans ajout de teinture supplémentaire.

Manteco a mis énormément d'efforts pour créer cette gamme de tissus recyclés de la manière la plus respectueuse possible. Il s’agit de la gamme "MWool", dont le but est de créer des tissus recyclés en laine de très haute qualité, bien loin de l’image "cheap" que l’on se fait des tissus recyclés.

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© Manteco

De la laine recyclée de la gamme MWool de Manteco

En effet, la laine MWool a une empreinte carbone de 0,9 kg CO2 éq./kg, tandis que les fibres de laine vierge ont un impact de 10,4 kg CO2 éq./kg dans le meilleur des cas, 75,8 kg CO2 éq./kg dans le scénario de référence, et 103 kg CO2 éq./kg dans le pire scénario. Une telle variation de scénarios s’explique par la méthodologie utilisée, mais les ordres de grandeur sont très révélateurs !

Vous pouvez trouver l’étude à l’origine de ces conclusions ici.

Il y aurait encore beaucoup, beaucoup à dire sur la gamme MWool, et la page de présentation est très complète.

Retenez que : 

  • grâce à la sélection très rigoureuse de la laine à recycler,
  • grâce à leur couleur obtenue sans teinture chimique
  • grâce à l’excellence industrielle de Manteco,

Ils produisent parmi les plus belles laines recyclées au monde. Oui, vous avez bien lu, je n’ai pas souvent vu cette qualité de laine recyclée ailleurs.

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Et évidemment, en 100% laine, il y a les qualités habituelles de cette merveilleuse fibre : douce, chaude, thermorégulatrice, résistante aux odeurs et au froissage, séchage rapide, etc.

À noter que ces critères de qualité sont les mêmes qu’une laine non recyclée chez Manteco, car ils veulent absolument que leur laine recyclée présente une qualité équivalente.

Si on entre dans le détail, il s’agit d’une laine de 280g/m2, donc un poids qui se porte agréablement de l’automne au printemps, en passant par les températures les plus froides de l’hiver.

Elle est d’un beau marron chocolat, car Luca apprécie beaucoup cette couleur en hiver, pour la porter avec des chaussures couleur sable, du vert sapin ou encore un bleu marine classique.

Une coupe droite indémodable (par Benoît)

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Avec une ouverture de 20,5 cm pour une taille 48, on est sur une coupe droite sans excès, et très facile à porter, y compris quand on aime l’ajusté.

Luca tenait absolument à une taille haute pour rendre hommage aux coupes vintage d’antan, et je ne peux que vous encourager à porter ce pantalon avec vos chemises et vos tee-shirts rentrés dedans, afin de bien mettre en avant cette coupe !

Carte d'identité de notre fatigue pants Shelby

Matière : 100% laine recyclée de chez Manteco (Italie) dont 85% est certifiée GRS (Global Recycled Standard)

Origine laine : laine recyclée provenant de vêtements usagés récupérés un peu partout dans le monde

Filature et tissage : Italie, chez Manteco

Confection : Portugal

Prix : 220€

Guide des tailles : prenez votre taille habituelle chez BonneGueule. Luca, notre mannequin, mesure 1m77 pour 77kg et porte une taille 48. Pour accéder à notre guide des tailles, cliquez ici.

Le Henley en coton et yack

Mon premier souvenir de ce vêtement est lorsque je regardais Laurel et Hardy, Zorro ou même des westerns avec mes grands-parents, en buvant une tisane le soir. 

Les premières traces du henley remontent au XIXe siècle, en Angleterre. Je sais, ce n'est pas très américain. 

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© Victoria & Albert Museum

Un henley qui date de 1880, époque Victorienne et de Jack l'Éventreur. Considéré comme un sous-vêtement masculin, les britanniques appelaient ça "undervest".

À l'époque, il s'agit d'un sous-vêtement masculin, fabriqué en coton ou en laine. Il est porté sous la chemise, pour apporter de la chaleur et de l'absorption. 

C’est aussi un vêtement qu’on ne lavait pas trop mais on vous passera les détails. 

Au début du XXè siècle, le henley commence à être porté comme vêtement de sport.

Il est notamment adopté par les rameurs, qui le trouvent confortable et pratique. Je suis du même avis.

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© Rowing History

Courant du XXe siècle, le henley est devenu un pièce incontournable chez les sportifs, particulièrement les rameurs.

Pendant la Seconde Guerre Mondiale, le henley est adopté par l'armée américaine (et c’est là que ça devient américain). Il est porté par les soldats comme sous-vêtement, mais également comme vêtement de travail.

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Un henley de chez MisterFreedom, inspiré de ceux portés par les G.I. Ils sont plus souvent écrus, marrons ou verts kaki.

Dans les années 1960, le henley devient un symbole de la contre-culture. Il est adopté par les hippies, encore eux. 

C’est une pièce qui est très simple à porter, qu’il faut envisager comme un T-shirt

Le but ici était de lui donner de la texture pour que vous vous disiez le matin “bon, je prends une T-shirt blanc ou un Henley sous ma surchemise ?” 

J’espère que vous choisirez le henley. 

En parlant de texture, Ben a quelques mots à vous dire sur ce vêtement.

Un coton avec une pointe de yack (par Benoît)

Qu’est-ce qui donne ce coloris grège si particulier à ce henley ?

Réponse : il n’y a pas de teinture, il s’agit des fibres de yack utilisées qui donnent cette richesse dans la couleur avec ce chiné tout en subtilité. Donc au niveau de la composition, on a : 

  • 95 % de coton bio certifié GOTS
  • 5 % de yack
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Une couleur subtile, naturelle et une belle texture

Cette maille est tricotée au Portugal. Avec 300 g/m2, c’est un henley avec une texture gauffrée bien marquée, qui a l’avantage d’emprisonner bien plus d’air qu’un tee-shirt classique, et donc d’avoir des propriétés isolantes bien supérieures à un tee-shirt classique.

Pour le lavage, on vous recommande de le faire à la main ou en programme délicat. Mais Alan de notre équipe produit l'a testé pendant un bon mois et un lavage à 30 degrés passait très bien aussi. Comme bon nombre de mailles texturées, il bouge au fil des lavages. Parfois, il se détendra un peu et parfois, il se retendra un peu. C'est tout à fait normal et ça fait partie du charme des matières naturelles et précieuses comme le yack ! En sachant qu'il se porte plutôt droit pour avoir de l'aisance.

Carte d'identité du henley Phoenix

Matière : 95% coton et 5% laine de yack de Lurdes Sampaio (Portugal)

Origine du coton : Turquie, certifié GOTS (Global Organic Textile Standard)

Origine de la laine de yack : Chine ou Tibet

Filature et tricotage : Portugal

Confection : Portugal

Prix : 115€

Guide des tailles : prenez votre taille habituelle chez BonneGueule. Luca, notre mannequin, mesure 1m77 pour 77kg et porte une taille M. Pour accéder à notre guide des tailles, cliquez ici.

La deck jacket en coton japonais

La veste deck N-1 est une veste militaire (aussi) qui a connu un succès considérable auprès des collectionneurs vintage. 

Si vous voulez, plus vulgairement, soit on trouve des pépites hors de prix sur le marché, soit on trouve des vestes vraiment bas de gamme qui se déchirent à chaque fois que vous y passez un bras. 

Originaire des États-Unis, elle a été créée en 1943 pour la United States Navy. La Marine donc.

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Des marins de la U.S Navy qui portent la version N-1 bleue marine de la deck jacket.

À l'origine, la veste deck N-1 est conçue pour protéger les marins des éléments, grâce à son coton épais et bien dense, et son rembourrage. 

Le coton était ciré pour lui permettre de ne pas se transformer en éponge et bien sûr protégeait aisément du vent. 

La deck était également dotée d'une doublure en fourrure, qui offre une isolation thermique redoutable. 

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Une deck jacket vintage.

On dit que c’est une des vestes préférées de l’armée américaine tellement elle était confortable. 

Ils l’appréciaient fortement également pour son style décontracté, qui tranche avec l'uniforme militaire traditionnel.

Pendant la Seconde Guerre Mondiale, elle sera également adoptée par les forces alliées, notamment les Britanniques, les Canadiens et les Français.

Après la guerre, la veste deck N-1 continue d'être portée par les marins américains, mais surtout les civils qui ne passeront pas à côté de sa praticité et son confort. J’aurais fait pareil à leur place, non mais oh !

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James Dean portant une deck jacket bien patinée.

Pour la nôtre, la “masterpiece” de cette capsule j’ai envie de dire, on a voulu mettre le paquet et donc vous proposer une veste qui vous durera (on espère) une vie. 

On a fait en sorte de produire la veste la plus résistante possible, la plus confortable et la plus pratique pour qu’elle se patine avec le temps et vous rende bien des services.

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Je me suis initié au théâtre entre-temps. Là, je joue le cow-boy qui intimide son adversaire.

Comment on a fait ça ? 

C’est Ben qui va vous le dire. 

Un coton tissé au Japon (par Benoît)

Oui, c’est un 100% coton sur cette veste hivernale, mais pas n’importe lequel. En effet, la deck jacket a été créée pour être utilisée par temps froid. 

C’est pour cette raison que le tissu est un coton au tissage très dense, ce qui le rend très durable et coupe-vent… en plus d’avoir une belle texture !

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Ce beau tissu vient tout droit du Japon, de Kawagoshi Masa plus exactement. C’est un tisseur avec une expérience de plus de 70 ans, qui maîtrise parfaitement la création de tissu texturé à l’aspect vintage, comme les japonais savent si bien le faire.

Avec une épaisseur de 444g/m2, vous aurez donc une veste très durable !

Notre habituel isolant Climashield pour vous tenir au chaud (par Benoît)

Vous connaissez mon amour de cet isolant synthétique haut de gamme fabriqué aux Etats-Unis utilisé par des marques outdoor prestigieuses !

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Du Climashield® pour vous tenir au chaud

On s’est tourné vers le Climashield®, cet isolant haut de gamme, fabriqué aux Etats-Unis, utilisé par les marques outdoor les plus prestigieuses.

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https://hofmanoutdoorgearsupply.ca/105-climashield-apex-50oz.html

Le Climashield APEX a également l’un des meilleurs ratio poids/chaleur du marché, sa sensation de chaleur si particulière a réconforté plus d’un randonneur dans des conditions froides !

Et très honnêtement, je pense que c’est la seule deck jacket au monde avec du Climashield, pour des performances thermiques optimales.

Il s’agit d’une épaisseur de 100 g/m2, une épaisseur habituelle que nous utilisons pour son équilibre entre chaleur et respirabilité dans un contexte urbain.

J’adore cette alliance entre ce design vintage et cet isolant très moderne, où on allie l’ancien avec l’actuel !

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Je porte ici la deck jacket avec le henley, un jean droit et des chaussures bateau.

Un col très doux (par Benoît)

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Oui, je ne mâche pas mes mots, parce que je suis très fier de cette petite bande de polaire placé sur le col. Habituellement, elle est souvent en synthétique, mais nous avons voulu le détail encore plus loin, avec une composition luxueuse et atypique : 

  • 55% alpaga
  • 25% laine vierge
  • 20% soie

Comme vous pouvez le voir, 0% de polyester ici ! C’est clairement une polaire très haut de gamme, mais comme la surface utilisée est finalement minime, nous avons pu se permettre ce petit luxe.

Si jamais vous relevez le col, vous aurez donc une matière vraiment douce contre la peau.

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Et petit détail supplémentaire : l'intérieur des poches est aussi doublé avec cette même polaire d'alpaga, laine et soie. C'est un réel bonheur d'y glisser ses mains par temps froid.

Carte d'identité du blouson Portland

Matière extérieure : 100% coton, par Kawagoshi Masa (Japon)

Poids matière : 444g/m2

Origine du coton : USA

Tissage, teinture et finition : Japon 

Isolant interne : Climashield APEX, 100g/m2

Doublure : 100% viscose

Col et intérieur de poches : 55% alpaga, 25% laine, 20% soie

Confection : Roumanie

Prix : 490€

Guide des tailles : prenez votre taille habituelle chez BonneGueule. Luca, notre mannequin, mesure 1m77 pour 77kg et porte une taille L. pour accéder à notre guide des tailles, cliquez ici.

Luca Mariapragassam,

Pour moi, la mode rime avec rester soi-même. Mis à part les films de Jackie Chan, je suis un grand passionné de Coca Zéro. Et je n'aime pas les S qu'on m'ajoute à la fin de mon prénom.

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