Cuisse de Grenouille est une marque fondée en 2010 par deux frères fans de surf qui voulaient ressusciter le style "Gentleman surfer" des Hamptons (côte Est des Etats-Unis). Un style ultra chic et ultra cool qui caractérisait la bourgeoisie américaine des années 60. Pour les plus curieux d'entre vous, je vous conseille de vous intéresser de plus près au travail du photographe Slim Aarons, qui a photographié la "haute société" dans les années 1950-1960-1970.
Les Hamptons sont une péninsule considérée comme "le rendez-vous balnéaire le plus huppé des Etats-Unis".
Il faut donc bien comprendre que Cuisse de Grenouille n'est pas une marque de surf à proprement parler. Ils ne proposent pas de vêtements techniques comme le fait Quicksilver par exemple. Cuisse de Grenouille c'est une marque de prêt-à-porter urbaine, qui propose des basiques avec une touche "surf" supplémentaire. Lucas, co-fondateur et directeur de collection pour la marque vous en dira plus dans la vidéo ci-dessous.
Interview de Lucas, co-fondateur Cuisse de Grenouille
Donc, je m’appelle Lucas Bonnichon, j’ai 28 ans. J’ai créé la marque Cuisse de Grenouille il y a deux ans et demi avec mon frère Séverin. Donc, on est passionné de surf et en même temps, on est parisiens. Donc, on a voulu créer une marque pour les « Gentlemen surfer », à l’image de ceux des années 60 en Californie.
Comment l’histoire a-t-elle commencée ?
En fait, à la base, c’est parti vraiment du maillot de bain, du boardshort, puisqu’on ne trouvait pas dans le commerce des maillots de bain un petit peu court, un peu fitté, bien rétro, avec un tissu un peu particulier. Et du coup, on a décidé de créer ce produit. Donc, on a vraiment fait à l’image de ceux qu’on voit dans nos vieux bouquins de surf. Et donc ensuite, autour de ça, on a créé tout un univers et un total look avec des chemises, des pantalons, des manteaux, tout de A à Z.
Avec quels vêtements avez-vous débuté ?
Au début, on a commencé avec des maillots de bain et des cravates puisque pour nous, ça avait du sens de proposer quelque chose de beach wear avec quelque chose d’élégant ; et justement pour cette idée de gentleman surfer, expliquer que le surfer des années 60 peut très bien être sur la plage élégant avec son maillot futé, et également ensuite s’habiller et être propre sur lui.
Pourquoi « Cuisse de Grenouille » ?
On a décidé de prendre le nom Cuisse de Grenouille parce qu’on a vraiment la volonté d’être connu à l’international et de s’étendre partout dans le monde. Et Cuisse de Grenouille, c’est un nom que les gens ne comprennent pas forcément à l’étranger mais ils entendent quelque chose de très français. Donc nous en fait, on n’a pas pris pour ce que ça veut dire, on n’est pas du tout passionné de grenouille ou quoi que ce soit, on l’a pris vraiment pour la sonorité.
Quelle importance accordez-vous aux matières ?
Pour nous, c’est vachement important de sourcer les matières indépendamment des fabricants, de à chaque fois prendre des fabricants qui fabriquent spécialement pour chacun des produits, donc par exemple nos maillots sont faits chez un fabriquant qui ne fait que des maillots. Nos pantalons chez des fabricants qui ne font que des pantalons. Etc. pour tous les produits. Et on choisit toujours les matières qu’on livre aux fabricants pour avoir vraiment le contrôle sur toute la chaîne de production. Ces matières viennent en général d’Europe, donc de France, d’Espagne, de Portugal, d’Italie, ou alors du Japon puisqu’il y a un vrai savoir-faire au Japon. En fait, on prend les matières et les fabricants là où se trouve le savoir-faire.
Où fabriquez-vous vos vêtements ?
Donc, la plupart des vêtements sont montés au Portugal où il y a un savoir-faire énorme, où il y a vraiment des usines pour tous les produits et on y va régulièrement. On a des relations très proches avec nos fabricants et on est très impliqué dans les fabrications, dans les process, etc. Donc, on fait attention à tout ça.
Avez-vous des matières un peu originales ?
Le matériau du maillot de bain, c’est un matériau très particulier qu’on ne retrouve pas souvent dans les maillots de bain, qui est un petit peu épais mais à la fois très léger, et qui a cette particularité d’avoir ce memory contact, qui garde la mémoire des formes. C’est-à-dire que quand on va sortir de l’eau par exemple, le maillot de bain ne va pas coller aux jambes, il va avoir une tenue bien propre, bien droite. Et ça, c’est vraiment agréable pour les hommes de ne pas avoir le maillot de bain qui vient coller, qui vient mouler, et qui fait l’effet parachute. Et par ailleurs, sa rigidité, son memory contact lui donne une tenue vraiment parfaite.
Quelle est votre clientèle ?
Nous, on est installé ici dans le Marais, on a vraiment une clientèle parfaite qui est à la fois pointue, à la fois plutôt généraliste puisqu’il y a énormément de touristes qui viennent du Japon, des Etats-Unis, d’Australie, qui sont, eux, plutôt pointus. On a également les clients du quartier qui sont plutôt connaisseurs du fait de tous les magasins qu’il y a autour. Mais pour nous, le client idéal, c’est le trentenaire, bien dans sa peau, qui est plutôt dynamique et qui va faire vachement attention à son image.
Quelle est la tenue idéale ?
La tenue idéale est une tenue qui serait propre sur elle et qui, à la fois, serait décontractée. Par exemple, je pense à nos pantalons, nos chinos, qui sont très simplistes, très minimalistes, donc qui n’ont pas vraiment de détail mais qui ont une matière peau de pêche très jolie visuellement et également agréable au toucher, qui se froisse peu, donc qui reste toujours assez propre. Et après, par exemple, je pense à notre chemise Oxford qui est très simple également, vraiment sans détail. Ça permet d’être élégant et à la fois décontracté.
Donc, voilà. Ça, c’est le maillot de bain classique Cuisse de Grenouille. Donc, une coupe un peu rétro, donc un petit peu courte, bien droite, avec ce fameux tissu italien qui garde la mémoire des formes. Il se froisse et il se défroisse assez facilement. Et donc, cette rigidité lui permet de garder une tenue toujours bien droite, bien propre.
Le produit vraiment phare Cuisse de Grenouille, c’est le sweat “surf in Paris” avec lequel on a beaucoup de succès. Ce modèle en particulier, c’est un sweat “surf in Paris” donc en indigo, donc le pigment qui teint le sweat est un pigment naturel. Et en fait, ce sweat, il va se délaver comme un jean, comme un red selvedge. Avec le temps, il va prendre les traces de pliures naturelles du buste. Il va vivre, et c’est vraiment une pièce qu’il faut avoir et garder longtemps et le délaver naturellement.
Le jean brut Cuisse de Grenouille, pareil qui est très simple, qui a une jambe assez fine en bas, avec une ouverture de jambe de 17 centimètres. Donc, assez fine. Ce n’est pas un red selvedge. Donc pour nous, c’était vraiment une volonté à ce que ce ne soit pas red selvedge parce qu’on avait envie de faire un jean brut accessible. Là, on voulait faire un beau jean brut bien coupé, au bon prix quoi.
Chez Cuisse de Grenouille, c’est vraiment de faire des basiques avec des belles matières et des produits qui durent dans le temps et qui n’ont jamais été à la mode et qui ne se démoderont jamais.
Merci beaucoup.
Test de la marque Cuisse de Grenouille
J'ai eu l'occasion de tester plusieurs produits de la dernière collection (celle en boutique). Cuisse de Grenouille a commencé en proposant uniquement des shorts de bain et des cravates tricotées. Aujourd'hui, la marque propose un vestiaire complet de basiques. J'ai donc choisi de tester des pièces qui me ressemblaient : un pantalon chino et un tee-shirt (je suis un très grand fan de ces deux pièces), un sweatshirt, et une saharienne. Enfin, j'ai choisi comme accessoire une ceinture en laine tressée.
L'objectif est de vous montrer qu'en été, on peut s'habiller chic et décontracté. J'attire votre attention sur un point : s'habiller décontracté ne veut surtout pas dire s'habiller négligé. Non, avoir un style décontracté, ça se travaille et ça mérite toute votre attention. C'est ce que nous allons voir au travers de ce test.
Le chino Jay (99 euros) et le tee-shirt Bruno (65 euros) : deux basiques indispensables en été
Pour moi, le tee-shirt et le pantalon chino (avec un petit ourlet au niveau des chevilles) sont deux basiques indispensables en été. Ce sont deux pièces simples donc n'hésitez pas à jouer sur les matières et les couleurs pour donner de l'intérêt à votre tenue. Vous retrouverez le pantalon chino ici et le tee-shirt ici.
Un look simple à la portée de tous !
Le chino Cuisse de Grenouille est en coton peau de pêche qui se révèle donc très doux au toucher. J'avais peur qu'il me tienne chaud mais pendant le shooting en plein cœur du Sentier et sous le soleil, je n'ai pas du tout souffert de la chaleur ! Le vêtement respire bien et régule bien la transpiration. Il s'agit d'une matière teint-pièce. C'est à dire que le tissu a d'abord été tissé dans une base écrue puis teintée dans la foulée.
J'ai choisi un chino bleu marine : trop classique vous allez me dire ! Et bien non, il s'agit d'un bleu profond, avec de jolis reflets. De plus, sa douceur au toucher en surprendra plus d'un. Le coton peau de pêche a un aspect duveteux qui le différencie des chinos classiques en gabardine de coton simple.
La coupe est semi-slim et j'ai beaucoup aimé l'ouverture de jambe étroite (je porte du 32 et l'ouverture est de 16.5 cm).
Avec un ourlet ou entièrement déplié : il n'y a pas de règles pendant l'été ! A vous de faire comme bon vous semble !
Concernant la confection, celle-ci est bonne, sans plus. On retrouve les points de renforts aux deux extrémités des poches latérales. En plus de ces deux poches, on a une petite poche située au-dessus de la poche latérale droite : idéal pour y glisser sa monnaie ou une clé usb. Deux poches sont à l'arrière : une poche passepoilée et une avec bouton.
Les deux points de renfort : finition très importante qui
atteste de la bonne confection d'un pantalon chino
(comme Luca sans "S", je suis un expert de Paint !).
Tous les boutons sont en plastique. Personnellement, j'aime bien le contraste entre le bleu de la matière et le blanc des boutons.
Poche arrière gauche boutonnée.
Poche arrière droite passepoilée avec la griffe de la marque.
Concernant le tee-shirt, j'ai choisi un coloris "estival" : ce jaune pâle sent bon les vacances et l'arrivée des beaux jours.
Je suis un grand fan des "pocket tee", à savoir les tee-shirts avec une poche côté cœur. Pour que le look ne soit pas "grossier", il ne faut pas que cette poche soit de couleur contrastante. Sur le tee-shirt Cuisse de Grenouille, la poche est ton sur ton et donc discrète.
Autre détail que j'apprécie : le point de couture qui maintient un petit ourlet au niveau des manches. Comme notre phénomène Luca sans "S", j'aime beaucoup roulotter les manches de mes tee-shirts (ourlet qu'il faut sans cesse refaire tout au long de la journée). Ce point de couture me facilite donc la tâche et permet à l'ourlet de bien tenir.
Dernier détail sympathique, le point de couture un peu particulier sur le bas du tee-shirt. C'est une finition plus haut de gamme car elle nécessite une étape de manutention supplémentaire en usine.
Le point de couture sur le bas du tee-shirt : ce type de finition est rare et se voit plutôt sur des tee-shirts haut de gamme.
Il y aussi une bande de propreté à l'intérieur du col. C'est vraiment un détail qui a son importance car, en plus d'une finition propre, il témoigne du soin accordé par une marque à ses produits.
La bande de propreté au niveau du col intérieur du tee-shirt.
La matière (= le jersey) est très douce et ne bouge quasiment pas au premier lavage.
La coupe est très ajustée et les manches sont bien fittées.
Vous voyez bien qu'avec un chino dans une belle matière et un tee-shirt bien coupé dans une couleur qui sort de l'ordinaire, il est simple de construire une tenue d'été décontractée mais pas négligée. Pour ma part, je préfère faire un ourlet au niveau de la cheville (quand il fait chaud, c'est important de faire profiter à ses pieds du moindre courant d'air) mais sachez que l'ouverture de jambe étroite assure un excellent tomber sur tous types de chaussures d'été.
La ceinture tressée Romain (75 euros)
En été, les accessoires vous permettent vraiment de donner un twist intéressant à votre tenue. Avec deux pièces aussi simples qu'un pantalon chino et un tee-shirt, la ceinture vous permettra de donner de la valeur ajoutée à votre look.
J'ai choisi une ceinture en laine tressée élastique italienne (disponible ici). La laine est très belle et résistante : elle va s'user très lentement et vous accompagnera donc pendant un bon bout de temps. L'élastique donne de l'extensibilité à la pièce : c'est très pratique car vous pourrez la mettre exactement à votre taille.
Les empiècements sont dans un cuir nubuck qui vient d'une tannerie française du Pays Basque (à Espelette précisément).
La ceinture tressée avec des empiècements en cuir rouge se fond parfaitement dans la tenue.
La boucle avec ardillon est en laiton : elle se pique à différents endroits de la corde à chaque port.
Donc avec un chino, un teeshirt, et une ceinture, vous avez une tenue d'été idéale.
Voyons à présent comment la compléter intelligemment.
Le sweatshirt Mason (140 euros)
Le sweatshirt est la pièce idéale pour compléter une tenue décontractée. Pour éviter de trop basculer dans le sportswear, il faut choisir une belle matière et une coupe impeccable. Soyez extrêmement vigilants sur ces deux points !
J'ai choisi un sweatshirt 100% coton indigo (disponible ici), qui est un pigment naturel. Il faut donc bien comprendre qu'il va se délaver naturellement comme un jean brut (attention, sa couleur va évoluer mais pas aussi fortement que sur un jean quand même).
A première vue, vous allez me dire que cette tenue est monochrome ! Bien entendu, elle est plus subtile qu'elle n'y paraît. En effet, le contraste des matières est intéressant : le coton peau de pêche duveteux du pantalon et le molleton bouclette s'associent très bien. De plus, on n'est pas du tout sur les mêmes teintes de bleu.
L'ensemble des deux est donc loin d'être ennuyeux. Certes, de loin cette tenue vous semblera terne, mais elle révélera toute sa complexité quand votre entourage s'en approchera.
De plus près, les matières révèlent leurs subtilités
et leur complémentarité !
Détail très appréciable : la bouclette est très belle et n'a pas été brossée. Faites la comparaison avec un sweatshirt cheap où l'envers du molleton est duveteux : cela signifie que la matière a été brossé et que la bouclette a été coupée.
La bouclette n'a pas été brossée et reste donc intacte.
Les finitions sont très propres : aucun fil ne dépasse !
Comme pour l'entretien d'un jean brut, laver ce sweatshirt nécessite un peu de temps et d'attention : faites le tremper dans une bassine avec du gros sel et du vinaigre. Et jamais de sèche-linge !
Note : Lucas de Cuisse de Grenouille m'a informé qu'il ne restait que très peu de quantité pour cette référence de sweatshirt. Mais il existe une alternative qui est le même sweatshirt, avec la broderie ton sur ton "Surf in Paris" en plus (disponible ici). Pour les amoureux de belles matières, sachez que c'est exactement le même molleton indigo qui se délavera naturellement de la même manière. Du fait qu'elle soit ton sur ton, la broderie reste discrète et peut facilement se porter (cela ajoutera même une touche de fun supplémentaire à votre tenue).
La saharienne Lawrence (250 euros)
Dernière pièce testée : une saharienne. Je voulais voir une pièce "outerwear" de la marque et j'ai choisi une saharienne car c'est une pièce très pratique, tout comme la parka Aigle que j'avais testé dans l'article : Aigle : le spécialiste du caoutchouc...mais pas que. C'est un vêtement très fonctionnel avec ses nombreuses poches à soufflets et sa capuche qui se range facilement.
La capuche n'est pas amovible mais elle se range dans un emplacement prévu à cet effet tout autour du col.
Il y 4 poches plaquées à soufflets et à rabats : deux au niveau de la poitrine et deux au niveau des hanches. Pratique pour ranger vos petites affaires.
Les boutons sont en polyester (imitation corne) et viennent d'un fabricant français réputé.
Pour la fermer : une boutonnière centrale et un zip. Il y a aussi un cordon au niveau de la taille avec des pattes de serrage en cuir : très pratique pour affiner la silhouette de la pièce.
Toutes les boutonnières sont en œillets
(c'est à dire avec un côté plus évasé).
C'est très pratique et cela atteste de la qualité d'une pièce.
C'est une pièce très confortable. Vous n'aurez aucun soucis pour placer un sweatshirt ou un cardigan en dessous. Vous garderez beaucoup de confort grâce à une "partie d'aisance" au niveau des épaules. En plus du confort, l'avantage de cet empiècement supplémentaire est qu'il assure une grande liberté de mouvements sans venir déformer la silhouette plutôt fittée de la pièce.
Une nouvelle fois, je voulais choisir une couleur qui sort de l'ordinaire. C'est pourquoi j'ai opté pour un jaune assez tape à l’œil (sachez quand même que la parka est disponible en bleu et en rose pâle). Portée avec le chino et le sweatshirt bleu, le contraste des matières et des couleurs permet d'avoir un look estival loin d'être ennuyant.
En été, je vous conseille vraiment d'oser des coloris plus "flashy", par petite touche pour commencer, puis sur des pièces plus grosses comme cette saharienne. Attention quand même à ne pas vous transformer en arc-en-ciel sur pattes : ici, le bleu du sweatshirt et du chino vient calmer et apaiser le jaune de la veste.
A noter que la saharienne est en coton peau de pêche (comme le pantalon chino) et qu'elle n'est donc pas déperlante. C'est le gros point faible de la pièce : un manteau avec capuche qui n'est pas déperlant, je trouve que ça en limite l'usage.
Il faut donc considérer la pièce comme un vêtement de mi-saison, une épaisseur supplémentaire quand le mercure vous imposera de vous couvrir.
La saharienne est disponible ici.
Conclusion
Avant ce test, je ne connaissais pas la marque Cuisse de Grenouille. J'en avais simplement entendu parlé, sans plus. J'ai été très agréablement surpris. Cuisse de Grenouille est une marque qui va à l'essentiel en proposant des basiques efficaces et sans prise de tête. L'ADN "surf" et "vacances" se reflète dans les pièces avec l'utilisation de couleurs chaudes. Le rapport qualité-prix est bon (même si je reconnais qu'un tee-shirt à 65 euros, ce n'est pas donné...) avec des matières et une confection très correctes, sans pour autant être exceptionnelles. Toutes les pièces sont bien fittées : malgré des coupes bien ajustées, le confort est toujours présent. C'est clairement une marque que je vous recommande si vous êtes à la recherche de basiques pour l'été afin de rester stylé... même en tongs.
Et si vous ne voulez pas faire d'erreur cet été, je vous invite à lire l'article de Benoît : Les faux-amis en été ou comment ne pas ressembler à un touriste.
La marque possède aussi une super boutique en propre à Paris, à l'adresse suivante : 5 rue Froissart, 75003 Paris. N'hésitez pas à aller faire un tour pour voir l'ensemble de la collection (ils proposent aussi un des meilleurs cafés de Paris).