Il est 8h du matin.
Vous ĂȘtes sur le point de sortir de chez vous, pour travailler, prendre un cafĂ© ou promener votre furet.
En passant devant le miroir, vous vous dites que vous avez bien fait d'associer ce tee-shirt avec un bermuda kaki.
Mais en y regardant de plus prĂšs, vous sentez qu'il manque un petit quelque chose.
Que diriez-vous d'une casquette ?
On vous prĂ©sente Benjamin (Ă gauche) et Ousmane (Ă droite), deux membres de notre communautĂ© qui se sont prĂȘtĂ©s au jeu de mannequin le temps d'une superbe journĂ©e.
Notre premiĂšre casquette, Ă porter sans se prendre la tĂȘte
L'été, quand la chaleur réduit nos tenues à un combo bermuda/tee-shirt, on aime pouvoir accessoiriser.
C'est lĂ qu'interviennent les couvre-chefs, dont le plus facile Ă s'approprier est sans doute la casquette.
Histoire que la nÎtre remplisse correctement cette mission, nous avons opté pour une baseball cap :
- Une visiÚre légÚrement arrondie

- Une patte de réglage à l'arriÚre
Une fois la patte réglée, vous pourrez la rentrer dans l'oeillet. Sans doute mieux que nous ce jour là , nous plaidons coupable.
D'origine sportswear, c'est une interprétation décontractée.
Garantie sans logo, elle est sobre et facile Ă associer.
Benjamin porte sa casquette avec un tee-shirt et un bermuda BonneGueule. Ces piĂšces seront disponibles dĂšs samedi.
Que vous soyez plutĂŽt casual, workwear, casual chic, streetwear, ou sartorial avec un esprit aventureux, elle fonctionnera. En somme, on peut dire qu'elle a plusieurs casquettes.
"Au quotidien, je porte rarement des casquettes. Mais j'ai trouvĂ© celle-ci (la bleu neppy) particuliĂšrement lĂ©gĂšre, sa couleur est facile Ă matcher. En plus, elle Ă©pouse trĂšs bien la forme de la tĂȘte."
- Ousmane, journaliste, passionné de danse et membre de la communauté BonneGueule depuis 3 ans.
Ousmane porte une chemise et un bermuda BonneGueule.
Un bouclier parasolaire ?
Quand le soleil se dĂ©voile, une casquette est forcĂ©ment la bienvenue sur nos tĂȘtes.
Pour autant, il est important de rappeler qu'elle ne protĂšge que l'avant. Lorsque les rayons frappent de plein fouet pendant des heures, ne vous reposez pas uniquement sur sa visiĂšre.
Faites en avant tout l'usage pour lequel nous l'avons pensée : pour le plaisir d'agrémenter.
Et pour le plaisir d'associer deux teintes de bleu. Ou trois, si on compte la mer.
Ceci est un message de prévention du ministÚre en charge de la santé vestimentaire, du bon sens et de la bonne conscience de son auteur.
La confection : exigeants jusqu'au bout de la visiĂšre

Pour cette premiÚre, nous nous sommes tournés vers un atelier fondé il y a 12 ans au Portugal.
Il est spécialisé dans les couvre-chefs et sa méthode de confection est vieille de 100 ans.
Information ennuyante mais importante : sur la visiĂšre, vous trouverez une surpiqure.
Chaque casquette est montée presque uniquement à la main.
Comme le progrĂšs reste une bonne chose, on y utilise quand mĂȘme une machine Ă coudre.
La matiĂšre : retour sur deux coups de coeur
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Cette casquette, il allait de soit que nous devions vous la proposer Ă l'image de nos autres vĂȘtements : dans une belle Ă©toffe qui vaut le dĂ©tour.
Finalement, nous vous proposons mieux que ça : deux étoffes qui valent le détour.
Et si vous ĂȘtes connaisseurs, elles raviveront chez vous quelques souvenirs.
#1 : Un denim enneigé qui fondra en beauté

Souvenez-vous : il y a plus d'un an, chez un petit fabricant japonais, nous avions déniché un denim neppy avec lequel nous avions réalisé un costume workwear.
C'est donc la mĂȘme belle toile de coton indigo, parsemĂ©e de petites fibres blanches sur sa surface. Ces fibres blanches, ressorties lors du peignage, s'appellent des "neps" pour les intimes.
Ainsi, on obtient le basique essentiel qu'est la casquette en denim,  avec un supplĂ©ment qui stimule son intĂ©rĂȘt esthĂ©tique. Vous ne la confondrez donc jamais avec celle de votre ami. Plus besoin de marquer votre nom sur l'Ă©tiquette au stylo bic.
Mais ce n'est pas fini.
Comme tout denim japonais, la matiÚre va se délaver au fil du temps.
Tenez vous prĂȘts, car les nuances de bleu indigo ne seront pas les seules Ă apparaitre : nos fameux neps vont aussi lĂ©gĂšrement ressortir pour l'embellir.
#2 : Une toile vintage avant de l'ĂȘtre

Si vous connaissez bien la matiÚre de notre dernier pantalon cargo, vous savez déjà tout.
Sinon, suivez le guide.
Ici, vous trouverez un savant mélange 85% coton, 8% lin, et 7% ramie réalisé par Shibaya, tisserand japonais centenaire et expert en la matiÚre.
Pourquoi tant de fibres différentes ? Vous faites bien de nous le demander. Si, si, je vous ai entendu.
- Elles apportent un grain particulier
- Elles donnent une main craquante
- Elles engendrent un bel effet cartonné

Ăa, c'Ă©tait la premiĂšre Ă©tape. Voici la seconde : un lavage stone wash prĂ©cĂ©dĂ© d'une mĂ©thode de teinture sur tissu froissĂ©.
Tout ça, notre tisseur ne l'a pas fait juste pour s'amuser :
- Ăa apporte un cĂŽtĂ© vintage, avec un dĂ©lavage extrĂȘmement lĂ©ger
- Certaines fibres ressortent subtilement et donnent de l'aspérité
Pour ce qui est de la couleur, nous sommes restĂ©s fidĂšles Ă l'olive qui, comme pour notre cargo, rappelle l'esprit baroudeur qu'on aime sur un vĂȘtement militaire.

Maintenant, vous savez tout.
Enfin presque, puisqu'il reste une derniĂšre question :
Comment se procurer ces nouvelles piĂšces ?
Rendez-vous ce samedi 11 juillet dĂšs 11h sur notre e-shop.
Mais aussi dans nos boutiques de Paris 3e, Paris 6e, Lyon et Bordeaux.



