Il est 8h du matin.
Vous êtes sur le point de sortir de chez vous, pour travailler, prendre un café ou promener votre furet.
En passant devant le miroir, vous vous dites que vous avez bien fait d'associer ce tee-shirt avec un bermuda kaki.
Mais en y regardant de plus près, vous sentez qu'il manque un petit quelque chose.
Que diriez-vous d'une casquette ?
Notre première casquette, à porter sans se prendre la tête
L'été, quand la chaleur réduit nos tenues à un combo bermuda/tee-shirt, on aime pouvoir accessoiriser.
C'est lĂ qu'interviennent les couvre-chefs, dont le plus facile Ă s'approprier est sans doute la casquette.
Histoire que la nôtre remplisse correctement cette mission, nous avons opté pour une baseball cap :
- Une visière légèrement arrondie
- Une patte de réglage à l'arrière
D'origine sportswear, c'est une interprétation décontractée.
Garantie sans logo, elle est sobre et facile Ă associer.
Que vous soyez plutĂ´t casual, workwear, casual chic, streetwear, ou sartorial avec un esprit aventureux, elle fonctionnera. En somme, on peut dire qu'elle a plusieurs casquettes.
"Au quotidien, je porte rarement des casquettes. Mais j'ai trouvé celle-ci (la bleu neppy) particulièrement légère, sa couleur est facile à matcher. En plus, elle épouse très bien la forme de la tête."
- Ousmane, journaliste, passionné de danse et membre de la communauté BonneGueule depuis 3 ans.
Un bouclier parasolaire ?
Quand le soleil se dévoile, une casquette est forcément la bienvenue sur nos têtes.
Pour autant, il est important de rappeler qu'elle ne protège que l'avant. Lorsque les rayons frappent de plein fouet pendant des heures, ne vous reposez pas uniquement sur sa visière.
Faites en avant tout l'usage pour lequel nous l'avons pensée : pour le plaisir d'agrémenter.
Ceci est un message de prévention du ministère en charge de la santé vestimentaire, du bon sens et de la bonne conscience de son auteur.
La confection : exigeants jusqu'au bout de la visière
Pour cette première, nous nous sommes tournés vers un atelier fondé il y a 12 ans au Portugal.
Il est spécialisé dans les couvre-chefs et sa méthode de confection est vieille de 100 ans.
Chaque casquette est montée presque uniquement à la main.
Comme le progrès reste une bonne chose, on y utilise quand même une machine à coudre.
La matière : retour sur deux coups de coeur
Cette casquette, il allait de soit que nous devions vous la proposer à l'image de nos autres vêtements : dans une belle étoffe qui vaut le détour.
Finalement, nous vous proposons mieux que ça : deux étoffes qui valent le détour.
Et si vous ĂŞtes connaisseurs, elles raviveront chez vous quelques souvenirs.
#1 : Un denim enneigé qui fondra en beauté
Souvenez-vous : il y a plus d'un an, chez un petit fabricant japonais, nous avions déniché un denim neppy avec lequel nous avions réalisé un costume workwear.
C'est donc la même belle toile de coton indigo, parsemée de petites fibres blanches sur sa surface. Ces fibres blanches, ressorties lors du peignage, s'appellent des "neps" pour les intimes.
Ainsi, on obtient le basique essentiel qu'est la casquette en denim,  avec un supplément qui stimule son intérêt esthétique. Vous ne la confondrez donc jamais avec celle de votre ami. Plus besoin de marquer votre nom sur l'étiquette au stylo bic.
Mais ce n'est pas fini.
Comme tout denim japonais, la matière va se délaver au fil du temps.
Tenez vous prêts, car les nuances de bleu indigo ne seront pas les seules à apparaitre : nos fameux neps vont aussi légèrement ressortir pour l'embellir.
#2 : Une toile vintage avant de l'ĂŞtre
Si vous connaissez bien la matière de notre dernier pantalon cargo, vous savez déjà tout.
Sinon, suivez le guide.
Ici, vous trouverez un savant mélange 85% coton, 8% lin, et 7% ramie réalisé par Shibaya, tisserand japonais centenaire et expert en la matière.
Pourquoi tant de fibres différentes ? Vous faites bien de nous le demander. Si, si, je vous ai entendu.
- Elles apportent un grain particulier
- Elles donnent une main craquante
- Elles engendrent un bel effet cartonné
Ça, c'était la première étape. Voici la seconde : un lavage stone wash précédé d'une méthode de teinture sur tissu froissé.
Tout ça, notre tisseur ne l'a pas fait juste pour s'amuser :
- Ça apporte un côté vintage, avec un délavage extrêmement léger
- Certaines fibres ressortent subtilement et donnent de l'aspérité
Pour ce qui est de la couleur, nous sommes restés fidèles à l'olive qui, comme pour notre cargo, rappelle l'esprit baroudeur qu'on aime sur un vêtement militaire.
Maintenant, vous savez tout.
Enfin presque, puisqu'il reste une dernière question :
Comment se procurer ces nouvelles pièces ?
Rendez-vous ce samedi 11 juillet dès 11h sur notre e-shop.
Mais aussi dans nos boutiques de Paris 3e, Paris 6e, Lyon et Bordeaux.