Wicket se place comme un acteur de poids sur le marché du costume de qualité à moins de 600 euros. En effet, la liste de finitions proposées sur toutes les vestes est assez impressionnante : feutrine de cols coordonnée aux doublures, passepoils de poches, doubles fentes au dos, renforts d’aisselles, etc.
L’épaule est le plus souvent dessinée, avec une taille marquée, et les pantalons sont à la taille naturelle. Détail important pour ceux qui ne portent pas de ceintures, certains modèles n’ont pas de passants mais des bandes de resserrage.
Enfin, les vestes sport possèdent des tissus aux motifs très intéressants et travaillés, qui satisferont à merveille les amoureux de carreaux, Prince de Galles et autres chevrons.
La marque propose également un service de demi-mesure à partir de 690 euros, travaillant avec des fabricants de tissus anglais et italiens comme le très connu Loro Piana. Le délai est de 3 à 5 semaines selon le type de costume et les finitions choisies.
Jordan y consacre un test complet ici.Née en 2003 sous l’impulsion d’Hugues de Peyrelongue, cette enseigne – bien que son nom ne l’indique pas – est parisienne et déjà bien implantée avec trois boutiques dans la capitale.
Proposant un vestiaire complet et accessible aux amoureux d’art sartorial à l’anglaise, la marque arrive néanmoins à y ajouter une touche de sprezzatura.
Certaines vestes plus déstructurées sont par exemple semi-doublées ou sans padding, témoignant d’un univers propre à la marque à la croisée de ces deux mondes, tout en restant majoritairement structurée.